Combien d’incidents, d’Intifadas, d’émeutes, allons nous voir et
subir avant que cette vérité cachée n’éclate.
L’islam de France ne peut exister. Il y a un Islam. Un point c’est tout.
J’avais dans un article précèdent expliqué pourquoi les musulmans étaient
majoritaires dans les prisons des pays ou ils étaient minoritaires.
Ils n’acceptent et ne respectent qu’une autorité musulmane. Ils agressent,
comettent des attentats. Mais dès que l’un des leur, considéré comme un
moudjahid, lorsqu’il combat les infidèles, est touché, c’est l’émeute.
Un état fort, qui saurait se faire respecter, serait aussi respecté par
beaucoup de musulmans qui préfèrent vivre dans un pays laïque et
démocratique. Ils ne suivent les intégristes que par obligation.
Ils savent que s’opposer à eux représente la mort. Mais si ils avaient
confiance en notre pays, ils s’opposeraient à eux.
Je me souviens de mon enfance en Algérie
beaucoup d’arabes avaient rejoint l’armée Française au début des
évènements,
ils pensaient la France forte. Mais dès qu’il a été question de pacification.
beaucoup sont partis avec armes et bagages rejoindre le FLN.
Une France faible, comme celle que nous observons en ce moment.
Un gouvernement qui demande à ses forces de l'ordre
d'éviter l'affrontement nous mème à la catastrophe. Une France forte
sera respectée, une France faible sera combattue.
La seule chose à faire serait de combattre les émeutiers
comme des émeutiers.
Le chef de l'état devrait prendre la parole pour dire
nous ne pouvons plus tolérer de tels débordements.
Les braqueurs seront toujours poursuivis et tués
dès qu'ils utiliseront des armes à feu contre la police.
Les imams qui incitent à la révolte seront poursuivis et lourdement
condamnés.
A défaut de rétablir l'ordre dans le pays
il nous faut craindre une remontée du FN ou autres partis
d'extrème droite lors des prochaines consultations électorales.
Je vous invite a lire l'article du Figaro que je colle plus bas. Mais vous
retrouverez les mêmes données dans beaucoup de journaux
http://www.youtube.com/watch?v=NIIn0-mmoC8
Regardez cette vidéo jusqu'au bout
les habitants de ce quartier de Grenoble vivent une situation de guerre
ils ont peur
· Violents incidents à Grenoble
Mots clés : Incidents, Violences, Grenoble, Villeneuve, Michel Destot, Daniel Chomette, Karim Boudouda, SGP-FO
Par lefigaro.fr
17/07/2010 | Mise à jour : 09:38 Réactions (423)
Les jeunes du quartier crient vengeance après la mort de Karim Boubouda. Crédits photo : AFP
Une cinquantaine de voitures ont été brûlées, ainsi que des commerces, et deux jeunes ont été arrêtés dans la nuit de vendredi à samedi après le décès d'un braqueur tué lors d'un échange de tirs avec la police.
Tirs entre manifestants et forces de l'ordre, voitures et commerces incendiés... De violents incidents ont éclaté dans la nuit de vendredi à samedi à Grenoble après la mort d'un braqueur de casino tué la nuit précédente lors d'un échange de tirs avec la police.
Les incidents ont éclaté vers 23h30 à la Villeneuve, un quartier populaire de Grenoble d'où était originaire Karim Boudouda, la victime. C'est après une prière au mort récitée dans la soirée par un imam, écoutée en silence par une cinquantaine de jeunes rassemblés dans un parc, que la situation semble avoir dégénéré. De petits groupes de casseurs s'en sont pris à coups de battes à des abribus et un tramway, et des gaz lacrymogènes ont été tirés. Deux jeunes, dont un mineur, ont été interpellés. Par ailleurs, selon la police, entre «50 et 60 voitures» ont été brûlées et un magasin d'automobiles a été pillé et incendié.
Les jeunes crient vengeance
Karim Boudouda, 27 ans, déjà condamné trois fois aux assises pour vol à main armée, avait trouvé la mort dans la nuit de jeudi à vendredi au cours d'une course-poursuite après sa fuite du casino d'Uriage-les-Bains, près de Grenoble. Avec son complice, toujours recherché, il s'était fait remettre, sous la menace d'armes lourdes, le contenu de la caisse, estimée entre 20.000 et 40.000 euros.
La course-poursuite avait pris fin dans le quartier de la Villeneuve. «Les malfaiteurs ont arrêté leur véhicule... Ils ont ouvert le feu à au moins trois reprises vers les policiers», avait déclaré vendredi le procureur de la République de Grenoble. «Les policiers de la BAC ont alors riposté», touchant Karim Boudada à la tête, a-t-il précisé, évoquant la «légitime défense».
Une version totalement contestée par les jeunes de la Villeneuve, qui crient vengeance et haine de la police. «Le quartier a très mal vécu la mort du jeune. Ils l'ont laissé crever par terre, ils ont laissé son corps sur le bitume au lieu de le transporter», a ainsi rapporté un habitant du quartier à l'AFP.
Le maire veut un «Grenelle de la Sécurité urbaine»
L'attaque du casino d'Uriage-les-Bains est le troisième braquage de casinos de groupes français dans la région Rhône-Alpes et en Suisse voisine survenu en seulement quelques mois. Le 28 mars, le casino de Bâle, appartenant au groupe Tranchant, avait été braqué par un commando qui avait dérobé plusieurs centaines de milliers de francs suisses avant de passer en France. Et le 4 avril, le casino «Le Pharaon», un établissement du groupe Partouche, avait été braqué à Lyon par un commando de cinq hommes armés qui s'étaient emparés de plusieurs dizaines de milliers d'euros.
Face à une recrudescence de violences dans la région depuis plusieurs mois, le secrétaire départemental du syndicat SGP-FO, Daniel Chomette, a réclamé des «effectifs supplémentaires» pour sécuriser l'agglomération grenobloise, touchée par une récente vague de violences, assurant que la police avait «atteint un seuil de rupture».
Le député-maire PS de la ville, Michel Destot, a pour sa part de nouveau réclamé la tenue d'un «Grenelle de la Sécurité urbaine qui réunisse, aux côtés des ministres compétents, les principaux élus et les préfets afin qu'une stratégie commune soit élaborée, notamment en terme d'affectation de moyens».