L’express,
Un hebdomadaire Français nous gratifie d’un travail digne des meilleurs propagandistes de la Russie communiste.
Je vous invite à lire quelques passage de l'article d’une Certaine Marie de Vergès
Mais en y regardant de plus près nous nous apercevons qu’elle a fait appel à des arabes travaillant pour Reuters.
Vous admirerez le titre de cet article que seul un oriental peut avoir l’idée d'écrire.
Je vous laisse lire quelques titres de ces vendeurs de fleurs empoisonnées.
Mais surtout le commentaire que j’ai tenté de mettre à maintes reprises sur le site de l’Express.
Bernard Atlan - 25/12/2014 21:56
Si Israël avait, des suédois, des danois, comme voisins, il ne faudrait ni mur, ni contrôles.
Le problème est qu'Israël a les mêmes voisins que les pauvres chrétiens, Kurdes et Yezidis qui se font massacrer en Irak et en Syrie. Mais nos journalistes sont tellement endoctrinés par des politiciens qui se bourrent de l'argent du pétrole que peu de gens dans notre pays peuvent garder les idées claires. Mais les djihadistes qui commencent a commettre des attentats les contraindrons a comprendre.
Par Marie de Vergès publié le 24/12/2014 à 17:09
A l'approche de Noël, les pèlerins se pressent à Bethléem, lieu de la naissance de Jésus. Pourtant cette ville palestinienne de Cisjordanie est de plus en plus étouffée par les colonies et le mur de séparation israélien.
Des visiteurs de l'église de la Nativité, à Bethléem, en Cisjornie, le 17 décembre 2014.
REUTERS/Ammar Awad
Le vent piquant de décembre ne décourage guère les groupes de pèlerins qui défilent sur la place de la Mangeoire, à Bethléem, en Palestine. Tous veulent leur photo devant la crèche et le sapin géant. Comme chaque année à l'approche de Noël, un parfum de fête flotte dans la ville de naissance de Jésus. On y attend avec impatience les concerts et la parade des scouts palestiniens qui donneront le ton des réjouissances tout autant que la messe de la Nativité en l'église Sainte-Catherine.
Le sapin de Noël de la place de l'église de la Nativité, à Béthléem en Palestine, en décembre 2014.
REUTERS/ Mussa Qawasma
Pour y accéder, il faut franchir un barrage perçant ce rempart de béton haut de neuf mètres, construit officiellement pour des raisons de sécurité. "C'est inquiétant pour les touristes, surtout les individuels. Le mur leur laisse croire qu'ils entrent dans une zone de guerre, avec des snipers au coin des rues", déplore Afram Kando, propriétaire d'une boutique vendant les traditionnelles crèches en bois d'olivier, des icônes et autres souvenirs religieux.
Son cousin Shibly ne dit pas autre chose. Gérant du magasin historique de la famille, il a expérimenté mieux que quiconque les conséquences de cet isolement. Ouvert en 1999 à l'entrée de la ville, son établissement est désormais enserré dans un coude formé par le mur. Au début, 65 personnes y travaillaient. Ils ne sont plus que 11 aujourd'hui. Le commerçant raconte volontiers l'amère plaisanterie qui circule à Bethléem: "Si Marie et Joseph étaient venus cette année, le temps de passer les contrôles, Jésus serait né au checkpoint."
A l'unisson, les professionnels s'alarment des méfaits d'un tourisme "express". "Les tour-opérateurs israéliens contrôlent l'essentiel du marché et prévoient des visites qui se résument souvent à un aller-retour entre le checkpoint et la basilique de la Nativité", dénonce Fadi Kattan, propriétaire d'une agence de voyage. La majorité des touristes retourne dormir à Jérusalem, à dix kilomètres, privant Bethléem des retombées économiques.