Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
27 décembre 2008 6 27 /12 /décembre /2008 16:22

Depuis des mois, des années,  ils tiraient des roquettes et des fusées sur l’Etat d’Israël.

Depuis des mois, ils contraignaient les habitants des villes du sud d’Israël à se terrer dans les abris. L’Egypte avait obtenu un cessez le feu qui a duré quelques mois.

Mais la doctrine extrémiste, du Hamas, qui ne peut vivre que dans le confit avec un état Juif.

Etat dont il ne peut accepter l’existence sur ce qu’il considère comme terre musulmane.  Cette doctrine, l’a amené a trouver un prétexte pour rompre la trêve et les terroristes fanatisés de ce territoire, se sont mis a tirer à nouveaux des centaines de roquettes et fusées sur les villes du sud d’Israël.  Ce gouvernement Israélien qui va se retrouver devant les électeurs en février 2009, savait qu’il le paierait électoralement, s’il ne faisait cesser ces tirs.

La retenue, pour satisfaire les opinions publiques mondiales, qui avait duré de nombreux mois, contraignant les habitants du sud du pays à une vie de reclus, ne pouvait durer.

Le premier ministre d’Israël, qui devra quitter ses fonctions rapidement, a prévenu les Gazaouis. Il leur a expliqué que les agissements du Hamas exigeraient une réplique.

La ministre des affaires étrangère en avait fait de même au Caire.

Aujourd’hui, l’aviation Israélienne a visé des cibles ou les terroristes se croyaient en sécurité.

Près de 150 d’entre eux ont été tués. Les blessés doivent aussi être très nombreux.

Bien que le porte parole de l’armée Israélienne ai prévenu que ce n’était qu’un début, que si les tirs continuaient, d’autres opérations seraient menées. De nouveaux tirs de roquettes se sont abattus sur Israël. Une femme a été tuée, une autre personne blessée.

Israël, n’aura d’autre choix que de mener d'autres opérations allant jusqu'à éliminer les chefs de ces fous.

Il est à remarquer que l’ensemble des pays arabes organisent l’aide à apporter aux Gazaouis.

Nous avions pour habitude de les voir crier à la mort contre Israël.

En réalité, ils sont ravis de ce qui se passe. Le Hamas et le Hesbollah qui  servaient d’aiguillons aux Iraniens pour damner le pion aux sunnites. Le hamas se fait  sérieusement corriger. Le hesbollah ne bouge pas.

Les jordaniens donnent du sang, les Egyptiens et les Syriens des camions de vivres.

Ils savent que cette aide ne pourra arriver à Gaza qu’avec l’accord d’Israël. Mais ils ne doutent pas que cette aide arrivera à bon port. Cette opération est à mon sens le commencement du recul de l’influence chiite au moyen orient.

 

Partager cet article
Repost0
23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 20:08

Il faut absolument que nous trouvions des règles qui régiront les opérations financières, le commerce, les spéculations etc.

Nous voyons que cette crise financière a ruiné les fonds de pension par capitalisation qui devaient permettre à de très nombreux travailleurs de prendre une retraite méritée.

Nous voyons que cette crise financière va aussi mener de nombreuses entreprises à la faillite et que, ainsi, le nombre des demandeurs d’emploi va augmenter dans des proportions catastrophiques.

Nous savons aussi que de nombreux pays d’Afrique vont être sinistrés.

Certains économistes nous expliquent que cette crise n’a pas seulement été créée par les sub primes (le financement de l’immobilier aux USA). Ils expliquent que la masse de travailleurs qui opèrent en Chine et aux Indes en serait aussi la cause. La masse financière détenue par ces pays aurait déstabilisé le système.

Ce qui est sûr, c’est que les spéculateurs doivent absolument cesser leurs spéculations.

Faire fabriquer en Chine à moindre coût des produits toxiques,  ou spéculer sur les devises, les matières premières ou les sub primes : tout cela doit absolument cesser. Nous ne pouvons plus laisser ces apprentis sorciers dépouiller l’humanité.
Partager cet article
Repost0
4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 18:12

Des banquiers, avides de faire du fric, ont imposé à de braves gens qui rêvaient d’être propriétaires, des taux flottants pour financer l’acquisition de leur maison. Comme par hasard, ces taux flottants n’ont pas flotté du coté des emprunteurs, bien entendu, non. Ils ont flotté pour profiter grandement aux rapaces. Mais voila, les pauvres gens qui rêvaient d’avoir une maison, se retrouvent à la rue, leur maison saisie et vendue.

Le problème, c’est qu’ils étaient tellement nombreux, que le marché s’est effondré.

Les rapaces ont vu leur seule garantie fondre comme neige au soleil. Les pauvres gens sans maison, insolvables.

Voila les comptes de beaucoup de banquiers  qui se léchaient les  babines en pensant aux plantureux bénéfices, se retrouvent plombés.

Beaucoup de leurs confrères, à travers le monde,  se retrouvent dans une situation catastrophique et le système monétaire international vacille.

Pour sauver ces gestionnaires à la noix, les gouvernements sont contraints de prendre des mesures de sauvegardes. De voter des garanties, d’utiliser  les fonds publics.

Bref, le système bancaire appartient, désormais,  aux états. C’est la, à mon avis, une grande chance de réformer complètement le système. De ne plus permettre à ces apprentis sorciers de casser, à nouveau, la machine à financer l’économie mondiale.

Partager cet article
Repost0
24 septembre 2008 3 24 /09 /septembre /2008 11:36

Que faire, pour policer ce capitalisme ainsi que ce libéralisme sauvages qui nous conduisent  à la catastrophe?

 

Nous ne connaissons, pour le moment, aucun autre système qui puisse régir entre les hommes et les nations, le commerce, les services et les échanges.

L’humanité a commencé avec le troc. Ce système, ne présentait certainement pas les injustices criantes que celles, qu’il nous est donné d’observer de nos jours.

Elles  sont la conséquence de la différence de taille et de puissance de l’ensemble des protagonistes.

En effet, que peuvent les ouvriers de Michelin ou ceux travaillant dans la sidérurgie à Gondrange   

contre  la toute puissance des  mammouths financiers qu’ils ont en face d’eux. Ils sont écrasés.

Nous avons vu ADIDAS délocaliser et faire fabriquer, une partie de sa production en Chine et décider de quitter ce pays,

pour un autre pays d’Asie du sud Est.

Que peut, le paysan africain devant les multinationales qui pillent les richesses de son  sol et de son  sous sol sans en payer le juste prix.

Nous vivions et consommions dans une douce euphorie.

Cela, depuis la révolution industrielle. Mais voilà que la mondialisation nous fait prendre conscience de certaines incohérences du système.
Le système économique mondial se porte mal.

Des pays, ne garantissant ni salaires viables ni protection sociale, produisent des biens d’équipement et de consommation qui l’étaient dans nos pays.

Réalisent-on que la misère des ouvriers du tiers monde, nous atteint de plein fouet en détruisant beaucoup de nos emplois.

L’ensemble du système bancaire  aux USA bat de l’aile.  La spéculation sur l’immobilier s’est dégonflée et nous risquons une catastrophe financière.

Seules les interventions des autorités Américaines ont permis d’éviter des faillites en chaîne. Mais nous sommes encore loin d’être surs d’échapper à la catastrophe.

Des banquiers voulaient réaliser de plantureux bénéfices sur le dos de nombreux travailleurs américains. Leurs exigences étaient telles, que le système s’est détraqué.

Beaucoup d’emprunteurs ne pouvant plus faire face aux taux flottants. Leurs maisons ont été saisies et mises en vente.

Devant la quantité de maisons mises en vente, le marché s’est effondré. Ces Banques qui voulaient faire de plantureux profits se retrouvent avec des comptes sérieusement plombés.

Certains de nos banquiers, comme la Société Générale ou le Crédit Agricole, voulant se positionner sur ces marchés reviennent avec des pertes incalculables.

Naïvement, Jean Claude Trichet, Président de la Banque Européenne, demande plus de clarté dans le système monétaire international. Connaît – il un banquier qui va avouer nous sommes en faillite, ne nous prêtez plus rien.

Tout au contraire, ils tentent, tous, de cacher la situation en espérant éviter la déroute.

Il est question de 700 milliards de dollars pour tenter de sauver la situation.

J’ai bien peur que  cela ne suffise pas.

Des milliers d’emplois sont perdus aux USA et à travers le monde.

Les Américains, ces champions du libéralisme, en sont, à faire appel aux fonds publics pour sauver le système.

C’est bien la preuve que le système est réellement en faillite.

C’est,  je l’espère une l’occasion de réfléchir et essayer de trouver un système plus juste. 

Partager cet article
Repost0
4 août 2008 1 04 /08 /août /2008 15:18

Proche-Orient

 

Israël va transférer des partisans du Fatah en Cisjordanie

LEMONDE.FR avec AFP et AP | 04.08.08 | 11h14  •  Mis à jour le 04.08.08 | 11h28

Situation paradoxale : des partisans du Fatah, le parti de Mahmoud Abbas, vont être emmenés en Cisjordanie, sous la surveillance de l'armée israélienne. Israël a confirmé, lundi 4 août, le transfert en Cisjordanie de quelque 150 partisans du Fatah qui s'étaient réfugiés sur son territoire pour échapper au Hamas, après avoir été informé que la vie d'autres fugitifs rentrés dans la bande de Gaza était menacée.

 

 

Voila, pour le Monde, cette situation est paradoxale. Mais ne se souviennent-ils pas de Septembre Noir.

Lorsque les troupes Jordaniennes pourchassaient les fedayins Palestiniens, ils s’étaient comme toujours réfugiés en Israël. Ils savent et ont toujours su, qu’une fois la frontière passée, ils ont la vie sauve.

Contrairement à ce que voudraient nous faire croire les journalistes du Monde. Les Palestiniens savent que les soldats Israéliens sont les défenseurs d’une société démocratique. Ils ne tuent que pour éliminer des terroristes ou en cas de légitime défense.

Mais le dogmatisme de certains journalises ne leur permet pas de voir et dire la vérité. Ils continuent en nous disant " après avoir été informé que la vie d’autres fugitifs rentrés dans la bande de Gaza était menacée."
La vérité et les gens du Monde le savent,  c’est que les différents, chez les Palestiniens, se règlent à coups de Kalachnikov, canon ou toute autre arme qui permet de massacrer ses adversaires.

Mais le Monde qui a été un journal de référence, a fini par perdre une grande partie de son lectorat.

Il a du, il y quelques jours procéder à des licenciements.

Ils ne semblent pas avoir compris d’où vient  le manque de crédibilité qui semble frapper ce quotidien.

Enfin qu’ils continuent comme cela, ce n’est certainement pas moi qui me plaindrai de sa disparition.

Partager cet article
Repost0
9 juin 2008 1 09 /06 /juin /2008 22:29

Que savons nous de la Shoah ?

 

Un pays, l’Allemagne, dirigé par un fou du nom d’hitler,

avait décidé de rayer les juifs de la face du monde.

Pour ce faire, partout ou les troupes allemandes se trouvaient, les juifs étaient arrêtés.

Femmes, hommes, enfants, vieillards, pourchassés telles des bêtes,  déportés, massacrés, gazés et brûlés.

Une monstruosité dont l’humanité traitera encore pendant des siècles.

Comment comprendre que tout ou partie d’un peuple puisse suivre un fou dans sa haine maladive ?

Voila, que certains défenseurs de la cause arabe, osent faire une comparaison entre les victimes arabes du conflit qui oppose Israël aux arabes de Palestine avec ce que les Juifs ont subit durant la Shoah.

Tout d’abord, il faut préciser que 20 % de la population d’Israël est arabe.

Les arabes qui ont quitté le territoire, lors de la guerre d’indépendance de cet état, qui devait devenir Israël l’ont fait à la demande des autorités arabes de l’époque qui leur promettaient un retour triomphal après avoir tué les Juifs.

Si les Israéliens avaient pratiqué ce que ces faussaires tentent de nous faire gober à savoir une déportation, aurions nous toujours 20 % de la population qui serait arabe. Cette minorité élit des représentants à la Knesset le parlement Israéliens, imaginez vous les représentants des juifs au reichstag à l’époque de la Shoa.

Les arabes qui occupent aujourd’hui l’autre partie du territoire ont participé à des élections libres. Ils ont élu un parlement dominé par le hamas. Cette organisation terroriste sachant qu’Israël  est un pays démocratique qui se refuse à faire payer des innocents. Cette organisation

qui à pris le pouvoir par les armes, à Gaza,  tire journellement et depuis cinq a six ans des fusées et roquettes sur le territoire Israélien.

Je vous mets à la suite de ce texte, le torchon écrit par la libre Belgique.

Qu’ils se soucient plutôt de ce qu’on fait les colons Belges au Congo.

 

Société

Incidents de Nivelles : Thérèse Snoy réagit

Christian Laporte

Mis en ligne le 31/05/2008

La députée verte nie avoir dit des propos antisémites à la manifestation de Nivelles.

Accusée aussi d'antisémitisme parce qu'elle a pris la parole à Nivelles à la manifestation évoquant l'expulsion des populations palestiniennes d'Israël en 1948, la députée Thérèse Snoy (Ecolo) entend "calmer le jeu". Mais elle remet les pendules à l'heure : "J'étais là par solidarité avec le peuple palestinien et parce que la situation est tellement grave sur place qu'il faut mobiliser d'urgence nos gouvernements. Les Palestiniens vivent une situation humaine dramatique et Israël ne respecte pas les engagements internationaux. Je suis pour une paix juste au Proche Orient, c'est-à-dire tout à fait sur la même longueur d'ondes que mon parti !" ateurs de la manifestation par les autorités communales et ce, à l'initiative du CCOJB : "On a tenté de la minimiser voire de l'interdire ; ce que je ne puis évidemment pas admettre, au nom de la liberté d'expression." Thérèse Snoy nie aussi avoir tenu des propos antisémites : "Je reconnais une erreur... J'ai parlé de la pression de "certains groupes" parce que je ne connaissais pas Joël Rubinfeld, mais de là à interpréter mes propos comme on l'a fait, c'est me faire un mauvais procès..."

André Flahaut a, lui, écrit une lettre ouverte au président du CCOJB où il rappelle, publiquement, cette fois, les pressions que celui-ci a exercées sur lui. Et, après avoir rappelé "la liste non exhaustive" de tout ce qu'il avait réalisé pour la mémoire de la communauté juive, il met M.Rubinfeld au défi de prouver qu'il avait vraiment manifesté aux côtés des militants de "Pour une paix juste au Proche Orient".

Pour clore ce débat, signalons que parmi les organisateurs de la manifestation figuraient des militants progressistes juifs qui estiment qu'Israël ne peut faire revivre aux enfants palestiniens ce qu'eux-mêmes ont subi en 40-45. C'est le cas du psychothérapeute Marc Abramowicz, ancien enfant caché...

 

 

Partager cet article
Repost0
29 mai 2008 4 29 /05 /mai /2008 20:57

 

Que peut-on dire d’autre du tribunal d’instance de Lille, qui par son jugement, dissout le  mariage d’un couple de musulmans au motif que la mariée n’était, contrairement à ce qu’elle aurait prétendu, vierge?

Ce tribunal, dans ces attendus, nous déclare que le marié aurait été trompé. La virginité de l’épouse étant une qualité essentielle. Que peut-il y avoir de plus éphémère que cette qualité la.

Elisabeth Badinter, interrogée sur France Info, a laissé éclater sa colère. Elle a, à juste titre, parlé de la honte qu’a certainement subie cette jeune femme répudiée de  la sorte. Il  a été demandé à Madame Badinter comment elle expliquait cette décision. Elle a répondu que nos tribunaux commençaient à tenir compte de particularismes communautaires.


Le président du tribunal d’instance de Lille a, lui, expliqué que ce jugement était respectueux d’une certaine jurisprudence.

Il aurait fallut lui demander si la jurisprudence à laquelle ce jugement correspondait émanait de tribunaux de notre pays, ou de tribunaux islamiques.

Nous pouvons nous réjouir d’apprendre, que Madame Rachida DATTI, Ministre de la justice, semble revenir sur ses premières déclarations. Elle avait au préalable déclaré que ce jugement était favorable à la jeune femme, qu’il la protégeait.  Une telle déclaration, nous montrait bien, qu’elle ne réalisait pas à quel point la France entière était révoltée par cette décision.

Elle vient de demander au parquet de Lille d’interjeter appel de cette décision.

Ouf elle semble avoir compris.

Je sais que la honte subie par cette jeune femme ne peut être réparée. Mais il ne faut surtout pas que d’autres tribunaux nous sortent des jugements d’une telle iniquité en prétextant dès lors une vraie jurisprudence.

Partager cet article
Repost0
13 mai 2008 2 13 /05 /mai /2008 22:57

Nous assistions, depuis bien longtemps, à cette guerre que les chiites font aux sunnites.

Ce conflit, a, en réalité, débuté depuis de nombreuses années. Les troupes de Saddam Hussein en Irak et celles des mollahs de Téhéran, se sont sérieusement massacrées. C’était, souvenez vous, la guerre Iran Irak.

Cette guerre, se poursuit, toujours en Irak. Les chiites, acceptent le processus démocratique proposé par les Américains. Ils sont numériquement majoritaires, c’est ce qui leur assurera le pouvoir en Irak.
Mais, c’est aussi, pour cette raison, que  les sunnites, commettent journellement des attentats contre des chiites.

Les Iraniens ont d’autre part planté un sacré couteau dans le dos des sunnites en finançant les terroristes du Hamas à Gaza. C'est pourquoi, ils s'acharnent à tirer des fusées sur le sud d'Israel.
Israel, n’est en réalité qu’un prétexte. Au Liban, le hesbollah qui est la main armée de l'Iran a pour objectif  de conquérir ce pays. Beyrouth est tombé comme un fruit à point. Mais  les montagnes du Chouf qui étaient entre les mains des Druzes de Walid Joumblat, viennent de passer dans celles du Hezbollah. Hassan Nasralah, le chef de ces terroristes, sait très bien, que si à nouveau, il attaquait Israel, il aurait beaucoup plus à perdre qu’à gagner.

Les sunnites, qui voient l’Irak, le Liban et Gaza leur échapper, ne peuvent rester les bras croisés. Ils savent que l’Iran se sert du conflit Israélo-Palestinien, pour leur manger la laine sur le dos.

Nous savons, que les troupes Palestiniennes fidèles au Président de l’autorité se sont entraîné et on reçu des armes en vu de reconquérir Gaza.

Voilà, pourquoi, je crois que nous assisterons très vite à la signature d'un accord de paix entre Israel et les Palestiniens. Mais il faudra d’abord que les Palestiniens musèlent les terroristes du Hamas.

Partager cet article
Repost0
21 avril 2008 1 21 /04 /avril /2008 09:07
Des collégiens écrivent contre la violence

France Info - 06:54

·                        

·                        

Agés de 14 à 16 ans, plusieurs collégiens inscrits en Seine-Saint-Denis ont choisi d’écrire à l’inspection d’Académie pour dénoncer la situation de leur établissement, et les violences au quotidien.

Le ras-le-bol des élèves contre la violence dans leurs classes. Ils sont en troisième au collège Jean Moulin, un collège sensible d’Aubervilliers en Seine-Saint-Denis. Ils ont entre 14 et 16 ans pour les plus âgés.

Il y a quelques jours, ils ont pris leur plume, à la demande de leur professeur de français, pour écrire des lettres poignantes à leur inspecteur d’Académie. Des lettres dans lesquelles ils décrivent avec leurs mots la situation désastreuse de leur établissement et où ils proposent des solutions pour mettre fin aux violences.

Valérie Crova a rencontré ces collégiens en exclusivité pour France Info...

Le reportage, complet et en direct, de Valérie Crova  (4'51")

 

 

Notre pays change, que nous le voulions ou pas, c’est indéniable.

Depuis de nombreuses années, l’espoir était pratiquement perdu. Pour certaines de nos banlieues.

Nous avons vu des livres fleurir la devanture de nos librairies. L’un d’eux avait pour titre "les territoires perdus de la république".

Ce livre nous décrivait la situation catastrophique de certains de nos lycées et collèges ou régnait une véritable omerta. Il était devenu impossible de dire ou d’enseigner certaines choses.

L’impossibilité d’aborder des sujets tels que la Choa ou la colonisation.

Puis Nicolas Sarkozy a été élu à la tête du pays. Nous avons vu, que ceux qui pensaient, pouvoir comme par le passé, tirer sur des policiers lors de manifestations, se faire arrêter  et présentés aux juges manu militari.

Et de ces territoires que l’on croyait perdus, nous voyons des jeunes se révolter contre ceux qui les empêchent d’étudier. Ils écrivent au rectorat pour dénoncer ces situations et exiger des solutions. Ils le font, car ils sentent que des solutions peuvent désormais être trouvées.

Oui notre pays change, il change en mieux, nous ne pouvons que nous en réjouir.

 

Partager cet article
Repost0
20 mars 2008 4 20 /03 /mars /2008 15:03

Ils veulent ouvrir des Mosquées en Europe.

Mais refusent aux Chrétiens, par exemple, d'exister dans leurs pays d'origine. Ne parlons pas des juifs !

Je vous invite à prendre connaissance d'un article récent du Figaro, Il traite des ennuis faits aux Chrétiens en Algérie. Mais je vous conseille aussi l'article de Libération du 10 avril 2004 sur les Coptes d'Egypte. Nous terminerons par un article du Courrier International qui traite de la vie des Chrétiens parmi les Palestiniens.  Je publie cette petite partie du dossier que je détiens sur les malheurs des Chrétiens dans le monde arabe, en réponse à un article du Monde traitant de fouilles effectuées à Jérusalem. C'est en permanence que ce journal instrumente à charge d'Israël. Il a définitivement pris partie pour la haine et l'obscurantisme, c'es pourquoi..... 

J'aurai tendance à penser "Le Chameau ne regarde pas sa bosse, mais regarde celle des autres"

Ils est des journalistes qui portent des œillères

 

 

 

·                        

·                       Les chrétiens pourchassés
en Algérie

Arezki Aït-Larbi, Alger
25/02/2008 | Mise à jour : 23:26 |
Commentaires 77

.


L'église Notre dame d'Afrique à LAger. Crédits photo : LUDOVIC/REA

Les évêques d'Algérie ont été reçus par le ministre des Affaires religieuses pour exprimer leur inquiétude face aux expulsions, radiations et condamnations qui ciblent l'Église depuis l'adoption, en février 2006, de la loi réglementant les cultes non musulmans.

Les difficultés ont débuté il y a deux ans, avec l'expulsion d'une vingtaine d'étudiants africains qui avaient participé à une rencontre biblique à Tizi-Ouzou, en Kabylie. Au même moment, les autorités invitaient les religieux chrétiens à quitter le pays «pour raison de sécurité». En novembre 2007, des volontaires brésiliens sollicités par M gr  Teissier, l'archevêque d'Alger, pour s'occuper des étudiants lusophones ont été expulsés à leur tour. Un mois plus tard, un directeur d'école et un instituteur, Algériens de confession chrétienne, ont été radiés de l'Éducation nationale pour «prosélytisme». L'association des parents d'élèves qui soutient les deux enseignants rappelle que l'école a eu 100 % de réussite à l'examen d'entrée en sixième pour les deux dernières années.

Depuis quatre mois, les visas sollicités par l'archevêché sont délivrés au compte-gouttes, souvent en retard. «Ceci compromet gravement notre avenir, car sans la visite des responsables religieux des congrégations, nous n'obtiendrons aucun soutien pour les religieux travaillant en Algérie et aucun renouvellement», déplore Mgr Teissier.

Un nouveau pas est franchi le 30 janvier 2008 lorsque le père Pierre Wallez, du diocèse d'Oran, est condamné à un an de prison avec sursis par le tribunal de Maghnia (près la frontière marocaine). On lui reproche d'avoir prié, un mois plus tôt, avec des migrants clandestins camerounais «hors d'un lieu de culte», un «délit» puni par la loi fixant les «conditions et règles d'exercice des cultes autres que musulmans». Le médecin qui accompagnait le prêtre, accusé de les avoir soignés avec des médicaments d'un centre de santé publique, a été condamné à deux ans de prison ferme. «Les médicaments ont toujours été payés par l'Église catholique à titre d'aide humanitaire», atteste pourtant l'évêque d'Oran.

Officiellement, cette loi adoptée en février 2006 visait à garantir «la tolérance et le respect entre les différentes religions». Dans les faits, elle prévoit une peine de 5 ans de prison et une amende de 1 million de dinars (10 000 euros), contre toute personne qui «incite ou utilise des moyens de séduction tendant à convertir un musulman à une autre religion». Révélateur d'une volonté répressive, les représentants des ministères de la Défense et de l'Intérieur, et ceux de la police et de la gendarmerie, sont majoritaires dans la commission chargée de «veiller au respect du libre exercice des cultes».

«Âmes vendues à Jésus»

Pour les autorités, ce «bouclier spirituel» vise à protéger la société contre «les menées subversives d'évangélistes américains, prélude à une intervention militaire». Des Rambo du goupillon dont la présence est montée en épingle par la presse national-islamiste, mais que personne n'a jamais rencontrés. En deux mois, une trentaine d'«enquêtes» et autres dossiers ont été consacrés aux «agressions contre l'islam dans sa propre maison». Ce «prosélytisme», dit-on, aurait déjà converti des dizaines de milliers de jeunes désœuvrés, qui auraient «vendu leur âme à Jésus» pour 5 000 euros ou un visa pour l'étranger ! Même si le nombre total de chrétiens reste symbolique et limité à quelques milliers de fidèles. Le père Gilles Nicolas, du diocèse d'Alger, ne cache pas son inquiétude : «Cette levée de boucliers n'a rien à voir avec le prosélytisme. C'est une lutte idéologique de ceux qui veulent épurer le pays de toute présence non musulmane.»

Sur fond de luttes d'influence dans le sérail, cette «croisade» tend à faire diversion, alors que les partisans du président Bouteflika s'agitent pour imposer une révision à la hussarde de la Constitution, et permettre au chef de l'État de briguer un troisième mandat. Dans la propagande officielle, on stigmatise la Kabylie, de tout temps hostile au régime, comme un «maillon faible en voie d'évangélisation». Depuis quelques mois, des imams salafistes sont injectés dans la région par le ministère des Affaires religieuses ; leur mission : lutter contre la «menace chrétienne», les «traditions païennes» du cru, et secouer l'islam ancestral des montagnards jugé trop tiède.

Hier, les évêques d'Algérie ont été reçus par le ministre des Affaires religieuses. Ils lui ont remis une lettre exprimant leur inquiétude face aux tracasseries qui ciblent l'Église. Ils ont aussi réaffirmé leur solidarité avec le pasteur protestant Hugh Johnson, menacé d'expulsion. «Après avoir reçu toutes les questions que nous avons exposées, le ministre nous a assuré que l'État n'avait pas la volonté de gêner l'Église catholique», affirme Mgr Teissier.

Dossier Spécial: Chrétiens dans le monde arabe

«Les musulmans refusent que nous existions en Egypte»

Claude Guibal
Libération, 10 avril 2004

L'air est piquant, âcre de chaume remué. Des palmes piétinées jonchent les pavés des ruelles de Masr el-Qadima, le quartier copte du Caire où les églises disputent aux couvents les multiples vestiges du passage en Egypte de la Sainte Famille. En ce dimanche des Rameaux, nombreux sont ceux venus en famille célébrer le début de la semaine sainte. D'ordinaire discrets avec leurs croix tatouées au creux du poignet, les coptes en leur terrain portent haut leur foi. D'or ou de bois, des crucifix pendent à chaque cou. Les mains tiennent des croix de palme tressée. Au stand de souvenirs de la millénaire église de la Moallaqah, on s'arrache des autocollants pailletés de Jésus en croix. Et on parle. Sur toutes les lèvres, la même interrogation angoissée : «Y en a-t-il eu d'autres ?»

«Morts de peur». Depuis plusieurs mois, la panique s'est emparée des chrétiens d'Egypte : des jeunes filles auraient été enlevées dans des supermarchés de banlieue. Selon les associations coptes, elles auraient été attirées à l'étage du magasin pour se faire remettre un cadeau. Pour cela, on leur aurait fait signer un reçu : en fait, un acte de conversion à l'islam. Les jeunes filles auraient ensuite été tenues enfermées jusqu'à leur conversion définitive. La rumeur autour de ces conversions forcées a enflé dans toute la communauté, relayée par les sites Internet coptes et jusqu'aux sermons des évêques, enjoignant les chrétiens d'Egypte à la plus grande prudence. Le mois dernier, même le patriarche Chenouda III, d'ordinaire bien silencieux quand il s'agit de s'exprimer sur les vicissitudes des coptes, a souligné la «gravité de la situation». Et d'ajouter que de jeunes coptes avaient aussi été emprisonnés quinze jours, sans autre motif que d'avoir avec eux bibles et cassettes de cantiques. Recrudescence des tensions religieuses ou paranoïa ? La complexité de la situation des coptes d'Egypte rend la réponse difficile. Impossible en effet de vérifier la rumeur sur les conversions forcées. Si certains cas semblent avérés, d'autres pourraient avoir été inventés pour dissimuler des conversions de jeunes filles amoureuses de musulmans. Car, en Egypte, une conversion est vécue pire encore qu'un deuil. «Quoi qu'il en soit, les coptes sont morts de peur en ce moment», assure un entrepreneur européen, dont les employés sont tous chrétiens. Exaspéré par «ces histoires à dormir debout», il s'avoue cependant «préoccupé par l'ampleur de l'inquiétude» de ses collaborateurs.

«Nous sommes persécutés, voilà la vérité !», s'emporte Amir. Ce jeune ingénieur a passé son après-midi à l'église pour faire réciter des psaumes aux enfants. «Les musulmans refusent que nous existions dans ce pays. Et personne n'ose parler», s'énerve-t-il, tandis que ses amis, tendus, lui font signe de se taire. Victimes des islamistes armés au milieu des années 90, écartés d'emblée de certains emplois ou postes à responsabilité, considérés comme des citoyens de second rang, oubliés des programmes scolaires, les coptes ont ­ à juste titre ­ de nombreux griefs (lire ci-contre). Incapables de faire entendre leur voix dans leur propre pays, par crainte de représailles, ils laissent donc à leur diaspora le soin de médiatiser leurs souffrances. Au risque de les exagérer.

Concession américaine. Hyperactif auprès du Congrès, le lobby copte aux Etats-Unis instrumentalise le moindre événement auprès des élus américains afin de faire pression sur l'Etat égyptien. En agitant l'épouvantail de la discrimination religieuse, le Congrès pourrait en effet voter la suppression de l'aide américaine à l'Egypte : 2,1 milliards de dollars dont Le Caire n'entend pas se passer. Hosni Moubarak le sait : en visite cette semaine à Washington, le président égyptien sera inévitablement apostrophé sur la question copte. A chaque voyage, sa concession : après avoir autorisé la diffusion télévisée des messes de Noël et Pâques, le raïs a dû accorder l'an dernier un jour férié officiel pour Noël. Le lobby copte savoure sa victoire. Pas Amir. «Tout ça, c'est de la poudre aux yeux pour satisfaire les Etats-Unis. Au fond, rien ne change», affirme-t-il. Et de citer l'exemple des autocollants en forme de requin dévorant un poisson, qui ont fleuri sur les pare-chocs des voitures cairotes... en réponse au poisson stylisé des chrétiens. Ou les assauts démesurés des forces de police contre les monastères pour détruire des bâtiments construits sans permis. «Mais les permis, on ne les obtient jamais, rappellent tristement Amir et ses amis. En ville, il suffit que des musulmans ouvrent à côté du chantier de l'église une salle de prière dans un appartement, et cela annule la possibilité de construire un lieu de culte chrétien. Eux n'ont pas besoin d'autorisation pour cela.»

Amir et ses proches en sont convaincus : seule l'action des associations coptes à l'étranger peut avoir des répercussions sur leur quotidien, à commencer par l'abrogation des appartenances religieuses sur les cartes d'identité égyptiennes. «Puisqu'on parle de démocratie à l'heure du "Grand Moyen-Orient", il est temps de faire pression pour que nous autres, coptes, puissions avoir les mêmes droits que tous dans ce pays.» Et d'espérer que George Bush Junior, «un vrai chrétien», le fasse comprendre à Hosni Moubarak.
 

* Cet article est inclus dans le Dossier Spécial MEDEA Num 9:

Chrétiens dans le monde arabe

 

 

Dossier Spécial: Chrétiens dans le monde arabe

Lorsque Bethléem devient un second Beyrouth

Khaled Abu Toameh et Isabel Kershner  Courrier International, N° 595, 28-03-02

Il est 10 heures du matin. Une foule de plusieurs milliers de personnes s'est rassemblée sur la place de la Nativité de Bethléem à l'occasion des funérailles du chef local du Hamas, Omar Saadé, de son cousin, de son frère et d'un sympathisant, tous tués la veille par des missiles tirés d'un hélicoptère israélien. Cette place, où se dresse la basilique de la Nativité, berceau de la chrétienté, a bien changé. Les boutiques de souvenirs, presque toutes tenues par des chrétiens, sont fermées. Les corps des quatre défunts, drapés dans les étendards verts de la Résistance islamique, sont exposés.

Dans la foule, certains brandissent des drapeaux du Hezbollah et des portraits de son secrétaire général, Hassan Nasrallah. La place, où Yasser Arafat avait l'habitude de se rendre en décembre pour allumer l'arbre de Noël et assister à la messe de minuit en un geste d’œcuménisme, est maintenant ornée d'affiches représentant le guide spirituel du Hamas, le cheikh Ahmed Yacine. Des orateurs provenant de toutes les factions palestiniennes montent sur l'estrade. Chaque fois que l'un ou l'autre appelle à la vengeance, une cinquantaine de jeunes hommes masqués et armés tirent en l'air. Quelques familles chrétiennes observent depuis leur balcon les scènes inquiétantes qui se déroulent sous leurs yeux. Elles considèrent ce qu'est devenu Bethléem. Pour la minorité chrétienne de la région, qui ne cesse de se réduire, la métamorphose de la place de la Nativité est un symbole de désespoir. Les chrétiens seraient en effet de plus en plus nombreux à quitter la région, et les religieux, inquiets de voir leur communauté s'étioler, appellent le leader palestinien à mettre fin aux violences.

Les représentants de l'Eglise démentent avoir fait pression sur Arafat. "Nous avons seulement demandé aux deux camps de calmer la situation", commente le père Raed Awad Abousahlia. "Nous n'appelons pas à la fin de l'Intifada, mais à une Intifada pacifique", ajoute-t-il, se référant à la résistance non-violente inspirée de Gandhi contre l'occupation israélienne. "L'ironie du sort, c'est qu'Israël s'est réservé le droit de continuer de démolir les maisons, d'arracher les arbres, de limiter les déplacements des Palestiniens et parfois de tuer", constate Ghassan Khatib, analyste politique palestinien. Du fait de l'émigration, la communauté chrétienne de Terre sainte n'a cessé de se réduire au fil des cent dernières années. Les chrétiens ne constituent plus que 2 % de l'ensemble de la population. Même à Bethléem, ville qui était il y a quelques décennies majoritairement chrétienne, ils ne représentent plus qu'un tiers des habitants. Mais, craignant d'être stigmatisés comme des traîtres à la cause palestinienne, les chefs de file chrétiens nient que cet exode considérable soit une conséquence de l'Intifada. "Les chrétiens n'ont pas peur d'habiter ici", affirme le père Abousahlia.

Le consulat américain de Jérusalem a délivré 1 089 nouveaux visas d'immigration en 2000, contre 668 en 1999. Des personnes qui obtiennent des visas, beaucoup, semble-t-il, seraient des chrétiens palestiniens. "Nous ne pouvons pas obliger les gens à rester, mais nous sommes inquiets", concède le père Abousahlia. Suffisamment inquiets pour collecter des fonds en vue de créer des emplois pour les membres de la communauté restants. Les bailleurs de fonds chrétiens financent donc des programmes de création d'emplois qui vont de l'ouverture d'un élevage de volailles à la restauration architecturale.

Un hôtelier chrétien de Bethléem résume le sentiment général de sa communauté : "Ce qui se passe dans notre ville me rappelle ce qui s'est passé à Beyrouth dans les années 70. Le moindre type de 20 ans qui se balade masqué avec une arme se prend pour un général et croit qu'il peut faire ce qu'il veut."

* Cet article est inclus dans le Dossier Spécial MEDEA Num. 9:
Chrétiens dans le monde arabe

 

 

 

Partager cet article
Repost0