Cette société qui maintient ses filles et ses femmes derrière un voile, qui exige d’elles d’arriver vierges au mariage, génère de véritables malades sexuels.
Né dans un pays arabe, je connaissais le problème. Mais, il nous a été donné, récemment, de voir une journaliste, de France 3, déclarer qu’elle avait eu a subir l’horreur place Tarir au Caire.
Envoyé Spécial, cette émission de France 2, a diffusé , un reportage de la plus grande importance sur ce sujet.
Des jeunes femmes, au Caire, qui ont le courage de dénoncer la monstruosité de cette société qui viole et met en accusation celles que se font violer. Seules celles qui sont voilées, ne sont pas de sales provocatrices. Celles qui portent jupes ou pantalons dévoilent leurs formes et sont coupables d’avoir pris un risque énorme, celui de se promener dans les rues d’un monde ou les hommes sont privés de femmes.
Ces réflexions m’ont permis de me souvenir, qu’en Afghanistan ou au Pakistan, mais ce doit être la même chose. Des chefs de guerre s’attachent les services de jeunes garçons pour satisfaire leurs besoins sexuels, les femmes étant cloitrées. Le problème ne se limite, malheureusement, pas au Caire ou encore à Alexandrie, l’ensemble des pays occidentaux en a hérité. C’est comme cela que vous pourrez voir que même à Oslo en Norvège, de nombreuses femmes sont violées par des malades du sexe.
Souvenez vous qu’en France, de jeunes femmes issues de cette communauté avaient crée une association qui a pour nom, Ni Putes Ni Soumises. Par cette dénomination elles expliquaient la monstruosité de ces sociétés arriérées et sauvages. Une femme qui s’habille à l’occidentale est une pute. Elle provoque et c’est très mal. Il lui faut porter un voile ample pour dissimuler ses formes. Nous pouvons maintenant comprendre celles qui vivent en France et le portent "volontairement". En cas de refus, la sanction est terrible. Voila ce que ces immigrations incontrôlées nous ont apporté. Nos sociétés que l’on pensaient modernes et égalitaires entre hommes et femmes subissent les coups de boutoir d’un monde de malades inguérissables. Inguérissables puisque c’est leur religion qui est responsable de cette horreur.